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28 août 2010 6 28 /08 /août /2010 20:12

 CECI N'EST QUE MON OPINION

 

 

Relâcher un oiseau que l'on a sauvé et le voir retourner à la vie sauvage, au milieu des siens, dans de grands tourbillons aériens et de longs vols planants, dans le crépuscule des soirs ou la fraicheur matinale.....voila ce que l'on aimerait voir....

Voir les petits félins grandir en chassant les mulots et en se reposant nonchalamment sur une branche dans les langueurs des après midis.....pour repartir solitaires dans la rosée à la chasse aux oiseaux pour se repaitre et s'endormir...

Et l'on dit souvent un chat ça sait se débrouiller, et l'on est ému d'imaginer le vol des oiseaux dans cet espace libre et vierge qu'est le ciel...

Et puis on pose délicatement l'oiseau que l'on vient de sauver sur le bord de la fenêtre en disant va, va,va petit oiseau: Envole-toi! Et on laisse le chat que l'on a nourrit pendant les vacances en disant: Bon chance petit chat!.....

C'est si beau tout ça!!!

Pourtant quelque chose ne colle pas...ce happy-end hollywoodien s'estompe et une crainte jaillit:

Mais vont-il réussir a se débrouiller vraiment?

 

Relâcher ou non un oiseau?, Nourrir ou non les animaux libres?

De multiples questions envahissent l'esprit immédiatement. Réellement de quoi parle t-on?

 

Finalement quelle est la nature des animaux en contact avec l'homme? Le pigeon est-il ou non domestique? Les chats sont t-ils de compagnie ou indépendants?

 

L'évolution apport-elle une réponse? Les gènes se sont-ils transformés pour donner de Felis silvestris silvestris un Felis silvestris catus ou d'un pigeon des roches un pigeon biset de la ville???Le problème est-il là?

 

Et les espaces naturels? Que veut dire satisfaire les besoins des animaux sauvages là ou l'environnement n'est absolument plus naturel et totalement bâti par les hommes? Que veut dire le bien être animal dans un tel environnement? Le problème est qu'il n'existe pas de vie sauvage là ou l'homme vit, au sens ou l'environnement est totalement façonné pour ses propres besoins ...

 

Et enfin pourquoi certaines espèces d'animaux vivent-elles à nos cotés? Le problème est que nos existences s'entremêlent...Que font donc ces animaux dans nos pattes, sur nos toits, nos arbres, et qui en plus nous rappelle constamment que nous en sommes aussi des animaux mortels?????

 

Pour résoudre ces contradictions, ses questions sans réponses ben le plus simple c'est le dépigeonnage, les empoissonnements, les tueries infinies....sauvages pas sauvages, peu importe?,... faire qu'ils disparaissent...

 

Quel n'est pas l'amoureux des animaux qui un jour, fatigué, dans son fort intérieur s'imagine n'avoir plus aucun animal à ses cotés, combien de maitres ne reprendront-ils plus d'animaux?

 

Quelle est ce poids que fait peser leur présence à nos cotés, et qui nous pousse à imaginer une vie ou il y aurait d'un coté le monde sauvage indépendant, heureux avec plein d'animaux autonomes et nous humains vivant notre aventure, dégagé de cette cohabitation?

 

Et puis sans s'en apercevoir, un jour il y a un évènement inattendu! Une rencontre: Un animal a eu bêtement l'idée de venir chercher des restes de notre repas, absurde! un oiseau blessé se réfugie derrière notre porte, incroyable! un couple vient nicher sous la gouttière.

 

Impossible d'éluder les questions, et là on ne peut que regarder, observer et essayer de comprendre. On regarde évoluer ces êtres vivants à portée de main et que voit-on?

 

Ils mangent, s'installent ou parcourent les lieux, s'arrêtent pour diverses activités (dormir, se lécher, faire des nids), élèvent leur progénitures, ils se créent des liens entre oiseaux ou entre chats, des rapprochements ou des contacts violents, les évènements sont répétitifs cycliques (saisonniers, journaliers), des évènements occasionnels modifient les choses...l'observation donne milles indications sur leur nature dont la génétique ne donne pas la formule, et peu importe ...

 

Et qu'en est-il de nos restes de repas, ben ils viennent toujours les prendre discrètement, les oisillons tombent toujours des nids et se réfugient dans un coin de notre balcon ou trottoirs, les oiseaux ornent toujours nos bâtiments....

 

Pourtant certaines choses nous sont familières, regarder évoluer ces êtres vivants ne laisse pas indifférent. Nous reconnaissons quelque chose en eux de commun avec nous, nous constatons des besoins que nous avons également.

 

Manger, manger et manger!!!! Mais c'est absolument comme nous

Se protéger, se protéger....là c'est pareil

puis une multitude de choses pas tout a fait compréhensible, parce que l'on ne l'a jamais fait: fabriquer un nid? Encore là, on transpose, on pense à la maison....et puis il y a vraiment des choses que l'on ne connait pas, voler par exemple, s'élancer le long d'un tronc....et grimper jusqu'à la cime....

 

La complexité des êtres vivants résonne incroyablement, c'est connue et inconnue.

 

Mais un évènement survient alors! Le chat qui venait manger, miaule un jour dans un sanglot en nous regardant, famélique, la chatte avec ses petits vient sur le balcon y installer ses chatons qui se pelotonnent au chaud dans un de nos fauteuils en plein hiver, le couple d'oiseau vient pondre des œufs dans un pot de fleur de la fenêtre...

 

Pourquoi font-ils cela? Domestiques, pas domestiques c'est pas la question. Ils y viennent. Pourquoi ne vont-ils pas à la campagne se débrouiller? Ben ils le font pas!!! C'est pourtant encore possible a certains endroits mais non ils semblent trouver dans nos installations, de quoi manger, avoir chaud, nidifier, se réfugier même si on ne fait rien. Existe t-il une étude scientifique de cette rencontre?

 

Si on les chasse, ils reviennent, eux ou d'autres, ou bien ils vont ailleurs chez un voisin faire pareil, habitude ancestrale, modification génétique, manque d'espace????? Certains viennent vivre proche de nous et d'autres jamais???

 

Je ne sais rien de leur nature, il y a du connu et de l'inconnu. Une chose s'impose: cela ne me laisse pas indifférent.

Je ressens la faim de ce chat, je ressens le bien être que procure la chaleur de mon fauteuil pour les chatons, je ressens l'espace adéquate du coin de fenêtre pour que le nid soit protégé et stable....et j'imagine des sensations inconnues, voler par exemple, sauter de plusieurs fois ma hauteur etc....

 

Là tout bascule et je décide de procurer tout le bien être possible à ses êtres vivants.

Comment faire, j'observe...D'ailleurs comment procurer un bien être à quelqu'un dont on ignore tout. C'est l'animal, le chat, l'oiseau qui me l'indique, il me donne mille indications. Je ne fais que renforcer améliorer les dispositifs, puis construire quelque chose pour eux. Pour les chats des siestes au soleil! mais ils choisissent les coins ombragés, je dispose alors des plantations autour d'un coussin, ils aiment autant les bosquets au raz du sol que  les abris en hauteurs, alors je dispose les trois types de couchage....idem pour la nourriture et pour tout un tas de choses.

Les chats peuvent venir ou partir, aucune contrainte...mais ils sont là, ils restent....

Je constate que certains des animaux du groupe se servent moins bien que les autres de mes installations alors je modifie tout, peu à peu, pour que chacun reçoivent les soins qu'ils cherchent à mon contact, à part égale, par exemple, pas de plat unique pour la nourriture, mais des plats individuels, donnés dans certains coins pour certains et pour d'autres a d'autres endroits etc....

C'est une constante observation de la demande de chaque être vivant en tant que tel. Il pourrait n'y en avoir qu'un, comme plusieurs centaines. A moi de trouver comment observer chacun d'eux. Et on les reconnait, c'est possible! là ou n'importe qui, ne fait aucune différence d'un chat à un chat, d'un pigeon à un autre pigeon....je la fais

 

Cette exploration, cette lecture est sans limite. Il est possible de découvrir jour après jours des nuances infinies du comportement des animaux, de leur demande, de la réponse a donner, des meilleurs gestes a faire....

Ce n'est que interaction, les vies s'entre-mellent. Je me promène dehors, ils me rejoignent, il y a des rendez-vous, des soins et des évènements.

 

Cela n'empêche pas de participer a l'aventure humaine avec les humains, la présence animale est juste présente, existante, et procure la satisfaction de voir des êtres vivants en bon état, vivant dans un relatif bien être.

 

Le fait est, que leur liberté de circuler et d'aller ou ils veulent, et de les voir rester ici avec ce que je leur donne suffit pour me faire penser que j'apporte quelque chose a leur existence qui leur convient.

Cherchent t-ils ailleurs, nourriture, confort, ballades et autres, oui à moins de cinquante mètres, une voisine leur met des croquettes, une autre a adopté une chatte, totalement libre qui monte sur un arbre de plus six mètres pour aller sur son balcon et rentrer chez elle.

 

Liberté chérie, quelle bizarrerie? Pourquoi restent-ils dans cet espace sans en sortir et qui n'est pas clos???? y a t-il des frontières invisibles avec le territoire d'autres chats situés au delà de la barrière et, du grillage? A n'en pas douter, oui, je les ai vu.

 

Les chats sont-ils dénaturés et leur nature profonde malmenée, maltraitée je n'en sais rien. Je sais qu'ils ont choisi de rester et je leur crée une place à nos cotés...

 

Je rêve tout de même depuis 96, après qu'un sale type m'ait tué quatre chats par simple délire et cruauté de pouvoir mettre de hauts murs infranchissables, un endroit réservé aux chats et de créer un refuge, un sanctuaire, un espace protégé ou la cruauté humaine n'aurait pas ses entrées.

 

Il en est de même pour les oiseaux en refuge dont on ne peut sans souffrir, évoquer les impossibles vols, volutes et courses aériennes. Que sait-on vraiment de ces instants de vols magiques qui semblent être l'essence même de l'oiseau puisque l'on ne sait pas voler!!!!

Au regard de la nourriture abondantes, des nichoirs sécurisés, et des perchoirs qui ne les blessent pas, des balles de fusils inexistentes que représente le vol pour un oiseau?....

Pour avoir eu des pigeons dans la cour de mon immeuble des années, dont le vol se limitait au tour du bâtiment vers la rue puis au retour sur les rebords de fenêtres de la cour depuis lors, bardés de pics blessants, je ne peux m'empêcher de rêver a un refuge. Il faudrait un pigeonnier et d'immenses filets comme ceux des pêcheurs délimitant une zone aérienne  pour oiseaux, des filets doublant les murs d'une maison et son toit, autour des arbres afin d'éviter qu'ils ne s'aventurent  dans des lieux sans nourriture, sans abris, avec des chasseurs, des fils aux pattes... ect, pour avoir cru un instant bref, que tout l'espace était hospitalier, comme mes chats qui sans faire attention dans la résidence se sont fait avoir par une voiture car ils pensaient l'espace à eux!

 

Que le manque de moyens ne soit pas la raison pour ne pas fabriquer de nombreuses réserves. Il faut créer des espaces, refuges pour les animaux des villes, chats, pigeons, hérissons, pie et autres, des endroit aussi vastes que possible. Pourtant un chat aurait besoin de je ne sais plus combien de km2 pour déambuler, les pigeons devraient pouvoir jouer également dans les airs, sur d'immense zones. Pour le moment mes chats eux même se contentent de beaucoup moins, eux même ont délimité leur domaine protégé bien en dessous de ce qu'il faudrait en théorie, ils peuvent aller au delà, mais la plupart n'y vont jamais, trop de risques!!!! Certains l'ont tenté, toujours à s'amuser vivre en lisière de résidence et ils sont vraiment morts ou ont disparus!!! Pourquoi les pigeons ne pourraient-ils pas eux aussi avoir cet espace sécurisé sans que l'on frissonne à l'idée de leur liberté entravée (sois disant), des risques d'épidémie comme s'il n'y en avaient pas lorsqu'ils sont n'importe où en ville, de leur piètre qualité de vie alors qu'ils ne fouillent plus en permanence dans les poubelles pour se nourrir, n'ont plus ces horribles moignons aux pattes a cause des fils enroulés, ne sont plus la cible des chasseurs dans les campagnes ainsi que des dépigeonnages massifs. Quel mauvais procès!

 

Quelle phobie gagne ces protecteurs des oiseaux en réalité, hantés par l'impossible mission de prendre soins de tous, dans une ville ou l'espace sauvage n'existe plus? Quand la pénurie de moyens de survie et de soins envahie les esprits, on pense concentration, surpopulation, maladie, espace vital, et mort, on cherche un bouc émissaire: "Les grands refuges" (en vérité ils y en a tant que ça!!!!Peut être bien qu'il n'y en a qu'un?) et ça va pas plus loin.....mais ça rappelle toujours furieusement le même schéma mental face aux difficultés......

Faites donc d'autres démarches: Trouvez une immense volière, un développement durable pour le refuge, des moyens etc..........le reste n'est qu'une manière de voir archaïque, toujours aussi monstrueuse et exécrable...

Inventez donc de nouveaux concepts (tels que les niches végétales que j'ai inventé pour les chats libres et trouvé une personne pour en réaliser), utilisez l'espace d'un refuge pour en élaborer de nouveaux plans, vous qui connaissez le monde des pigeons, un immense hangar à véhicule agricole sans plafond, juste un filet ou grillage....ou toute autre idée, je ne sais pas moi, des arbres comme ceux des places avec un enclos de grillage, une cour intérieure fermée par le haut, une église en ruine avec la nef fermée en hauteur, trop fantastique, non je ne crois pas ...... je suis sure que les moyens existent a plus ou moins long terme et non  la peur execrable tant polie par les  mêmes arguments: envahissement, maladie, misère.... servit a chacun sa sauce, et qui poignarde les autres dans le dos....

 

Ceci est ma réponse à ce texte:

http://cousin.pascal1.free.fr/protection_opinion.html

 

  Pour complément:

http://labrajack.over-blog.com/article-enquete-la-vie-sans-espoir-des-chats-sans-abri-one-voice-fr-56136610.html

 

et encore MEDITEZ! LA FOLIE DE SAUVEGARDER

 

http://www.chezmaya.com/cartesvirtuelles/chatssansabri/ranch.html

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commentaires

A
<br /> <br /> Il me semblait t'avoir répondue sur le forum pour le pigeon. Hélas quand je suis redescendue il avait disparu. la rue est peu passante, j'ose espérer qu'il a pu repartir... Bises et bonne soirée<br /> <br /> <br /> <br />
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P
<br /> <br /> Coucou Nath,<br /> <br /> <br /> Tu nous proposes une réflexion grave aujourd'hui. La problématique que tu soulèves est complexe et la réponse est forcément très subjective. On m'a souvent dit que mes chiens, ma petite<br /> chevêche, mon écureuil et mes chats étaient frustrés de leur vie basique, celle de leurs instincts. C'est vrai puisque j'ai fait des choix pour eux. En particulier celui de stériliser les<br /> chats et de contrôler la reproduction des chiens. Je crois que lorsque des animaux nous demandent de l'aide, il faut la donner. S'ils veulent reprendre leur liberté, il faut les accompagner, mais<br /> sous réserve de n'être pas allé trop loin dans le désapprentissage de la vie sauvage. Bref, pas facile!<br /> <br /> <br /> <br />
Répondre
B
<br /> <br /> Salut<br /> <br /> <br /> Ce sujet est toujours d'actualité mais j'ai constaté sur un forum anglais concernant les pigeons qu'ils propose une technique en vue de relacher les oiseaux sauvés. Elle est très<br /> contraigante, très réfléchie, et demande un investissement et une responsabilité importante. Le problème est qu'il ne faut pas ignorer que le contact entre les animaux et les humains laisse des<br /> traces, et qu'il faut des moyens considérables pour réhabituer un oiseau à la vie libre. (Par exemple savoir que les pigeons font les poubelles et qu'ils ne trouvent pas de graines dans les rues,<br /> il faut donc réapprendre cela aux pigeons, manger des détritus!!!) Dans le concret apparaissent des détails très basiques dont il faut tenir compte. Hors sur le forum les personnes qui veulent<br /> rendre la liberté au nom d'une idée du bonheur de l'animal, en fait, en le relachant le vouent à la mort. Voila pourquoi ma réflexion s'impose, j'ai trouvé une technique mais elle<br /> est tellement difficile à en oeuvre...<br /> <br /> <br /> <br />
L
<br /> <br />  <br /> <br /> <br /> J'ai lu avec soin tes réflexions et questionnements, Nath<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Nous en sommes malheureusement tous là (je parle celavadesoi des personnes qui se sentent véritablement concernés par la détresse animale), à nous demander où se trouve la Justesse pour rendre<br /> les animaux qui peuplent cette terre "un tant soit peu" heureux<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Je tente parfois de me canaliser en pensant que "nous sommes responsables à jamais de ce que nous avons domestiqué"<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Partant de là, nous tentons de composer du mieux possible avec leur vie et la nôtre qui invariablement, comme tu le soulignes, s'emboîtent, s'interactivent<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Cela ne nous empêche pas, "pour leur bien" de les nourrir avec des croquettes (quand on y pense...), de les stériliser (quand on y pense encore plus...) de leur imposer des rythmes à l'opposé des<br /> leurs<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Eux, s'adaptent ; sans doute comme nous nous le ferions pas<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> J'ai encore visité le site d'ALF qui dernièrement a relâché quelques 1000 bisons dans un laboratoire qui servaient à la fourrure ; une action de choc qui si, elle ne résoud rien sur le fond (cela<br /> risque même d'être à double tranchant) sur la forme permet quand même de faire savoir que des êtres humains se révoltent contre les actes cruautés inutiles commis sur les animaux<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Oui, nous en sommes tous là, essayant d'avancer du mieux possible, pour faire le moins de dégâts possibles, avec nos moyens, nos modes de pensée, notre culture<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Celà n'empêche pas que je voudrai parfois être morte plutôt que de lire, voir, tout ce que les Animaux, nos frères de terre, peuvent subir<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Un jour tu m'avais dit qu'aucun animal n'avait eu à souffrir à ton contact, pas un ; c'est déjà une bien beau challenge ; ça a l'air simple à voir comme ça ; c'est facile à dire, ça sort tout<br /> seul, et pourtant... quand on y pense<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Bien à toi<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Rose<br /> <br /> <br /> <br />
Répondre
B
<br /> <br /> Salut Rose<br /> <br /> <br /> J'ai appris que les chats du Maquis avaient été empoisonnés. C'est écoeurant. J'ose pas imaginer leur souffrance et votre peine. Je suis vraiment désespérée de ce qui c'est passé. Ca n'a pas<br /> de nom. Ya pas moyen de faire un envlos meme s'ils ont moins de terrain!!! Comment les proteger?<br /> <br /> <br /> <br />
A
<br /> <br /> vaste débat, toujours difficile de savoir si les protéger n'est pas au détriment de leur bonheur. A plus petite échelle j'ai un très grand jardin, mais mes chats pour ne pas aller se faire tuer<br /> (voiture, chasseur) ont un collier petsafe.. Bien sûr que s'ils ne l'avaient pas ils iraient voir ailleurs au moins une fois..Du coup vivent-ils vraiment leur vie de chat ? Leur espace se réduit<br /> parce que nous avons besoin nous de plus d'espace. b ises et bonne semaine<br /> <br /> <br /> <br />
Répondre
B
<br /> <br /> Bonjour Alexounette<br /> <br /> <br /> Après avoir lu tous les procédés permettant de relacher les oiseaux, très contraigants et que personne ne fera, avoir appris que les chats du maquis ont été empoisonnés, il y a peu, ainsi que<br /> certains des miens en 2006 le mieux est l'ennemi du bien, autant aussurer protection et vie à nos protégés<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> J'ai été absorbée par les messages du forum et n'ai plus regardé le blog depuis longtemps, je repond avec un retard enorme et je m'en veut de ne pas avoir vu ton SOS. Qu'as-tu fais de ce<br /> pigeon? <br /> <br /> <br /> <br />